Kored et son auberge vous accueille

Djyllya s'incline et glisse sous la ceinture de son Mjarhl la pierre.

Gaël salue la nouvelle arrivante.

Je t'en prie, prend place.

Il reste perplexe par les sourires, entendus des deux jeunes femmes, qui semblent lui être adressés.
Lance un regard compatissant a l'aubergiste en apprenant la mort courageuse de fils depuis redirige son intérêt sur ses comparses.

Qu'est ce qui t' amènes ???

Citation :

Se tournant vers Erhylion Kored s'esclaffe :
-" Toi, p'tiot, si tu me payes je te décallotes la tête comme un oeuf avec mon Fléau des roses de glace. Hahahahahahahahahahaha "

Erhylion lève les mains en signe de rédition

Erhylion a écrit:

C'est toi le patron Kored!!!

Puis, à la proposition de Gaël pour Djyllyia, Erhylion pousse ses affaires, se lève et cède sa place (au côtés de Gaël ^^) à la jeune et sublime Prodige

Erhylion a écrit:

Je vous en prie Djyllyia prenez ma chaise (lui propose élégamment de s'assoir)! Et dîtes nous ce qui vous amène?

Puis lorsque la jeune femme s'est installée, il s'installe à une autre chaise libre (ou en prend une ailleurs s'il n'y en avait plus à cette table) et propose à ses comparses:

Erhylion a écrit:

Peut-ëtre serait-il de bonne Augure que j'aille à la chasse aux informations?... Avec tous les Voyageurs et Commerçants qui passent par ici, il serait étonnant que ce genre de préparatifs guerriers n'ait pas été remarqué ou rapporté à l'un d'entre eux.

Torvyän accusa tant bien que mal la tape du voyageur, certes avec un grincement de dents. Même si ses cicatrices ne le faisaient plus beaucoup souffrir, cela ne lui empêchait pas d'être un peu plus sensible que d'habitude.

Djyllyia entra et s'installa. Il remarqua la petite manoeuvre subtile de Erhylion avec un petit sourire. Son visage de faucon restait quand bien même légèrement ancré dans une souffrance sans nom, sans compter le fait que son poitrail qui lui irradiait toujours le torse. Décidemment il avait tout subit en même temps.

Puis il se mit à s'intéresser aux paroles de Kored. Son fils était mort suite a un assaut des seigneurs ardents... ? Sans faire attention il échappa un murmure :
- Se pourrait-il que..., dit-il en portant la main à son côté droit.

Tout était étroitement lié, et à vrai dire, cela lui faisait peur. Trop d'évènements se précipitaient désormais, et il avait peur de ne bientôt plus pouvoir suivre. Le jeune combattant se ressaisit, malgré son regard troublé, et revint à ses compagnons.
- Je pourrais toujours essayer de vous aider pour aller chercher quelques réponses, Erhylion. Pour ce qui est des gladiateurs, je pourrais toujours plus facilement les approcher, étant donné que je suis versé dans l'art des armes également... et côté spectacle je crois que mon "art" se met à bien se développer, au vu des derniers évènements.

Il s'octroya une petite parenthèse, le regard encore plus perdu. Il repensait aux deux moments dans l'arène où il avait littéralement décollé. Ça avait été grisant, surtout avec la pulsation de son coeur à pleine vitesse et ce plaisir qu'il ressentait à chaque passe d'arme :
- Vous avez déjà volé... ? je veux dire... en l'air.

Djyllyia prend place et s'dresse au groupe présent à table :
-" Je suis venu ici car j'aimerais participer à la défense de la cité libre.

-"Le fait est que je ne peux pas supporter qu'une cité soit en danger et que je ne puisse pas tenter de la protéger.

-"Par contre, j'ai entendu dire que l'escouade qui avançait pour marcher sur nous, n'est pas des plus habituelles. Si une chose est sûre c'est qu'il ne sont pas là pour faire forcément la guerre, mais pour bel et bien s'approprier une partie de la cité. Une horde de diplomates et de notables ont , soit disant, accompagnés les hommes d'armes pour faire valoir leur présence dans la cité libre.

-"Je ne sais qu'elle situation est la plus douloureuse : celle de voir une partie de la cité libre aux mains de tyrans regroupés ; ou bien celle de devoir combattre des dragons renégats. Car, oui, certains dragons ont rejoints la cause des despotes en marche et rien ne les interessent plus que de pouvoir asservir un peu de population, surtout s'il s'agit d'enfant à manipuler.

Djyllyia baisse la tête puis contemple le groupe d'un regard étrange comme jamais vous ne l'avez vu faire.
Elle semble jauger le groupe comme une guerrière émérite qui aurait suivi l'enseignement et pris les habitudes d'un capitaine ou d'un lieutenant reprenant ses troupes. Puis elle lance à la cantonade
-"Buvons. Buvons à la victoire des dragons et de leur suprématie. Joignons nous tous sous la même bannière et protègeons le la cité libre de nos coeurs vaillants."
-"Kored, apporte-nous un verre d'eau du puits à chacun.

Kored rapporte un gobelet de bois qui ressemblerait à du buis à chacun, qu'il dépose sur la table. Le liquide à l'intérieur semble refléter les rayons du soleil et émettre un léger son cristalin, presque un chant inaudible...
-"Mes amis, mes frères(se tournant vers Gaël)mon aimé, que nos coeurs soient aussi purs que cette eau, que notre combat soit immaculé de sang comme la pureté de cette eau que rien ne peut souiller et ne souillera jamais. Que les mots soient aussi fluide que le liquide que nous allons boire. Et si la bataille est inéluctable, que le bras de chacun d'entre nous se lève une fois encore pour fêter la victoire de ceux qui croient en la justice et aux dragons"

Torvyän a écrit:

- Se pourrait-il que..., dit-il en portant la main à son côté droit.

Remarquant le léger trouble de son compagnon reporte son attention vers lui un instant et dis dans un murmure:

Erhylion a écrit:

Quelque chose ne va pas mon ami?

Puis voyant le sujet somme toute personnel voir épineux, il répond à sa question:

Erhylion a écrit:

Non malheureusement pas dans le monde physique, mais lorsque Nenya m'accueille en son royaume, alors ... Et cela fait partie des plus beaux rêves que je fais voir même le plus extraordinaire: pouvoir voler, ressentir les courants aériens comme les Fils de Szyl, je donnerai cher pour obtenir ce droit et ce privilège.

Et revenant vers Djyllyia, stupéfait du changement qu'il décelait en elle, il lève son verre, cogne du poing sur la table et s'exclame:

Erhylion a écrit:

Je ne pensais pas entendre un jour une telle ferveur guerrière au service de la liberté dans la bouche de quelqu'un! Eh bien si une révérée suivante d'Heyra nous accompagne, alors la vie elle même est de notre côté!

Mes ami(e)s, je vous le dis, je préfère abandonner mon arc que de laisser ces vils pourfendeurs de liberté poser leurs sales pattes sur la cité. Que les Dragons m'en soient témoins, Gael, je suis à tes côtés!

Il vide son verre et se prépare à remplir tous les verres de cette eau pure

-" Merci Jeune Erhylion de porter ton bras au secours de ceux qui ne peuvent se défendre. Avec toi je sais que nous avons une chance...

-" Et avec vous tous mes amis qui levez ce gobelet. Nous ne sommes plus un groupe uni par le même chagrin de voir la liberté en danger. Nous ne sommes plus les membres disparates d'un corps d'armes qui se lèvent contre un envahisseur,déclare Djyllyia l'air un peu las de voir que les puissants ont toujours en tête ce rêve d'assouvir leur fantasme de domination.
Djyllyia, le visage penché sur son poing fermé aux phalanges serrées : blanche de haine, et
regardant toujours sa main comme si sa main dérisoire ne pouvait pas apporter la force d'un guerrier et qu'elle était peut être mal placée pour motiver des troupes qui seraient plus exposées aux dangers qu'elle ne le serait jamais...


-" NON! Nous sommes de fiers guerriers qui allons brandir dans un même élan, notre volonté de rendre à la Liberté ses plus belles lettres. Nous ne pouvons pas courber l'échine devant un peuple qui ne voit la conquête d'une ville pacifique que comme un repas de plus à son banquet malsain. Le ton de sa voix prend de l'ampleur et son timbre devient plus grave, sa voix porte dans l'auberge comme dans un amphithéâtre. Sa paume laisse couler un filet de sang sur la table tant ses ongles sont enfoncés dans sa main fermée par la rage.

Djyllyia commence à relever la tête n'ayant pas vu le sang couler de sa main...

-" Si nous unissons nos forces aujourd'hui! Le royaume ne verra pas en nous une troupe de mercenaire. Elle ne verra pas le regroupement de membres de caste différentes. Son visage est maintenant tourné vers vous et vous fixe dans les yeux comme si elle sondait la force de chacun. Désormais ses mots son un cri, un hurlement grave et rauque de ralliement.
-" Ce que le Royaume verra lorsque nous chargerons nos ennemis. Ce ne sera pas une armée.

-" CE SERA UNE NATION !"

Exalté par la juste fureur et la ferveur de Djyllyia, il se lève et la voix vibrante :

Erhylion a écrit:

Que toutes les bonnes âmes, armées de leur lame et de leur soif de justice et de liberté se joignent à nous!


Pour les Grands Dragons! Pour la JUSTICE ET LA LIBERTÉ!!!

Spoiler:

Gaël lève son verre

POUR LES DRAGONS, POUR LA LIBERTÉ, POUR LE PLAISIR DE LEUR BOTE LE CUL.

Puis boit son verre d'un très.
Reporte son regard sur sur ses compagnons et particulièrement vers Djyllyia.

S'il te plais soigne ta main.

Plus généralement.

Bon avant de s'énerver entre nous faudrait déjà rassembler la nation.
Essayons de rassemblé les maitres de castes et les responsables de grandes villes.
Je vais d'ailleurs m'adresser aux voyageur pour porter des plis aux grands du royaume de la part de la cité libre.

Gaël salut ses amis et embrasse Djyllyia pour après se diriger vers la porte de l'auberge...

Finis son verre, se lève, fais un baise main à la jeune Prodige.

Erhylion a écrit:

Quant à moi, je vais essayer de quérir des informations auprès des Voyageurs, Commerçants et Artisans itinérants.

quelqu'un doit savoir quelque chose et ils pourront même m'apprendre s'il n'y a pas d'arrière garde car ce contingent de nobles et diplomates avec une escorte, même conséquente, aura prévu une ligne arrière en cas de problèmes ou de conflit prolongé, si on peut en apprendre un maximum, nous pourrions les en couper.

Ah et puis si vous voyez Sharess notre petite Erudite, dîtes lui de se renseigner sur la tactique militaire et la guérilla, nous mettrons ses connaissances en parallèle avec notre savoir en matière de terrain et de géographie, mieux nous serons préparé, mieux ce sera. D'ailleurs, tu devras peut être l'accompagner Torvyän, car ce genre de connaissances, elle devra certainement en glaner auprès des Combattants

Sur ce mes ami(e)s, je m'en vais m'atteler à la tâche.

Il se roule rapidement une clope, l'allume, vous salue ainsi que Kored et s'en va.

Torvyän jeta un coup d'oeil amusé à Erhylion suite à sa réponse, et enfin leva son verre comme les autres. Seulement lui ne gueula pas, c'est à peine si on entendit sa voix, couverte par celles de l'auberge, mais il la prononça le regard au loin, comme fixant un point bien précis.

- Au fer qui volera, aux étincelles qui naîtront des chocs des armes, et aux flammes que nous seront, nous répandant vers l'ennemi.

Il avala une gorgée de cette eau, puis une seconde, qui vida le restant du liquide. Tout ses compagnons partirent les uns après les autres, et restèrent seuls la prodige et lui. Le jeune homme lorgna la main de celle-ci avec une petite grimace.
- Vos discours sont-ils toujours aussi dévastateur pour vos mains ?, décocha-t-il avec une petite pointe d'ironie. Je peux y jeter un coup d'oeil ?

Djyllya tourne un visage encore sombre vers Torvyïan. Ses traits sont aiguisés comme des lames...

Aces mots, elle regarde sa main puis redresse son visage vers celui qui s'inquiète de son état avec tant de sollicitude :

-" ne vous inquiétez pas pour ma main, ce n'est rien.
Elle resserre la main pour arrêter le sang de couler.

-" J'apprécie ton courage Torvyïan, je ne sais pas si nous seront nombreux à livrer bataille, Mais sache que si nous devons tomber, je serai fière de tomber à vos côtés...

Djyllyia se lève et quitte la pièce. Puis se tournant vers Torvyïan :
-" Si l'un d'ente vous me cherche, je serai dans une des salles d'entrainement des prodiges, des combattants ou des protecteurs. Je vais leur montrer que L'Empire Zûl ne me fait pas peur. Et si je devais être la seule contre une armée, je ne serais pas sans défense...

Un homme au cheveux brun est au masque de fer entre dans l'auberge est se dirige vers des personnes qui semble connaître.

Bonjour les amis comment aller vous aujourd'hui?puis je m'asseoir?
patron une bière s'il vous plaît.

alors quelle sont les nouvelles.

Le patron s'avance vers Ianos et amène une bière au jeune mage qui se présente à la table habituelle.

-" Commant vas-tu jeune apprenti de kroryn?Demande Kored d'une voix avenante.

-" J'espère que les rumeurs ne vous échauffent pas trop concernant l'attaque de la cité libre.

-" Désires-tu autre chose avec ta collation jeune mage?"

Le soir étant depuis longtemps tombé, Erhylion décide de retourner vers l'Anneau d'Or afin de faire part de ses découvertes à ses comparses présents ce soir, et peut être que Sharess viendra afin qu'il puisse lui parler plus en détail de la mission qu'il souhaite lui confier mais quand il passe les portes de l'auberge, il n'aperçoit que Torvyän et Ianos qu'il salue lorsqu'il s'installe à leur table.

Il commande une chope de bière ambrée puis leur demande:

Erhylion a écrit:

Alors les amis, vous avez du nouveau?

* Torvyän sera allé faire un tour du côté de la maison des combattants, pour savoir si les rumeurs d'une telle bataille seraient prononcées, et accessoirement se sera un peu entraîné, histoire de reprendre quelques forces, puis reviendra un peu avant le retour de Ianos *

Le jeune homme accueillit Ianos avec un sourire légèrement forcé, non seulement par sa journée, mais les informations à propos de la cité libre qui passaient et défilaient sous son nez à vive allure. Il fut suivit de peu par le voyageur, et donc le combattant attendit que celui-ci s'attable tranquillement, pour commencer à discuter... enfin... selon sa constante loquacité, c'est-à-dire quelques mots par-ci par-là.

- Eh bien mes chers compagnons, je crois, et cela m'attriste, devoir vous parler de la compagne de notre cher Gaël. Non pas que celui-ci soit en rapport, mais elle m'inquiète quelques peu. Sinon pour ce qui est de ma journée, j'avoue que mon état ne m'autorise pas vraiment à pouvoir vagabonder où je le désire, je ne suis donc que allé du côté des rassemblements de combattants, car je pense qu'une telle guerre ne leur passerait pas à côté, et je suis allé reprendre quelques... leçons d'épée, de manière à recommencer doucement ma transition jusqu'à la guérison.

Il faut avouer que pour une fois, il avait beaucoup parlé. Torvyän s'arrêta donc pour reprendre son "souffle", et avec un sourire faiblard continua :
- Et vous mes chers comparses, qu'est-ce que les vents de Szyl vous ont apporté comme réponses... ou comme questions ?

Kored s'avance vers la table et pose spontanément un petit plat de viandes diverses et variées aux fumets envoûtants. Les viandes sont toutes cuites de la même manière, c'est à dire rôties, mais les sauces qui accompagnent ces pièces de viandes rouges ou blanches ont toutes une saveur différente en bouche...

Alors que kored s'éloigne de la table pour repartir en cuisine, Naïma le croise dans la salle commune pour déposer cette fois un gobelet de bois devant chaque personne présente à la table. Elle revient quelques instants plus tard pour ramener un pichet de vin, de la bière et une bouteille translucide représentant un Dragon Prêt à cracher son Souffle. la gueule du Dragon en est le goulot. Il est assuré que c'est un maître verrier qui a produit cette oeuvre. Les détails sont saisissants et le réalisme laisse croire un instant à ce que la bouteille va s'animer de vie et s'envoler. Le liquide à l'intérieur et d'une couleur rouge-orangée et semble se modifier comme si le liquide était vivant. Naïma a posé la boputeille devant Torvyän et lui dit que c'est un Vin du Khurghal que son père a pressé il y a bien des années.
-" Père m'a fait amené ce vin pour vous messire Torvyän. C'est un vin qu'il a distillé avec des Maîtres. Il était allé sur un plateau proche du Khurghal pour devenir Dignitaire et faire preuve de son savoir à ses pairs. Il en est revenu avec cette bouteille trois mois plus tard. Il avait dit que c'était l'essence même de Kroryn qui avait été mêlé au vin et que quiconque boirait ce nectar de Feu serait assez vif que les flammes qui sont à l'intérieur.
Père a mis la bouteille en cave, dans un lieu particulier en y faisant une petite ouverture pour que le soleil abreuve le vin de chaleur et ainsi "contenter l'Ame de Kroryn" comme il disait. Lorsque mon frère s'engagea dans la caste des Combattants comme Maître d'armes, père dit qu'il lui offrirait la bouteille pour la consécration de son statut de Combattant et qu'il reviendrait avec la maîtrise de l'arme de la famille "Les écailles déchirées de Szyl"...

-" Malheureusement Kleitos, mon frère, n'atteignit jamais ce statut..."

Naïma repart avec son plateau sous le bras, les yeux brillants mais sans verser de larme aucune. Puis comme si la douleur était une chose que l'on ne partage pas en public, elle s'affaire à servir les neufs miliciens habituels avec leur petites coutumes des neufs assiettes et gobelets d'étain...

Erhylion observe la carafe finement ciselée puis regarde Torvyän et a un pincement au coeur en pensant que même si il ne partage pas son sang avec ses frères et soeurs et sa mère, il n'en est pas moins bon d'avoir une famille, il faudrait qu'il invite Torvyän à manger avec sa famille car il semble que voir une famille un tant soit peu heureuse ait eu une action sur le coeur du brave Combattant.

Puis décidant que cela étant du domaine privé, il revient à sa chope afin de lui laisser le temps de se recomposer, avale une lampée de sa bière avant de répondre:

Erhylion a écrit:

Je ne sais que dire car ce que j'ai appris peut être à la fois vague et précis mais bon voilà ce que j'ai entendu:

la rumeur de l'existence de la Cité Libre, une cité où tous trouveraient un toit, s'est pas mal étendue mais une ancienne prophétie pourrait y être attachée: en effet il est dit que cette cité serait détruite par une armé plus grande encore que toutes celles des grandes Cités Draconiques réunies et que cette armé serait formée de l'union de toutes les tribus de l'Empire Zûl unies sous une seule et même bannière dont le chef serait le plus puissant Mage que Kor ait jamais porté.

Si cette prophétie est vraie et qu'elle concerne notre Cité Libre, alors nous allons avoir fort à faire, voire nous périrons peut-être mais on dit que la mort est l'un des plus intéressant voyage à effectuer, dit-il dans un sombre sourire!

Par contre, ce qui m'étonnes grandement, c'est l'absence totale de mouvement de troupes remarqué, une telle réunion ne devrait pas passer inaperçue même si les tribus Zûl sont réputées pour leur hardiesse au combat et leur capacité à l'escarmouche.
Si nous avions quelqu'un auprès de Mor-Ar-Zûl, chevaucheur du souffle du Dragon et actuel dirigeant de l'Empire, nous en saurions plus.

Autre chose, j'ai appris la vente, que je pense importante pour être parvenue jusqu'aux oreilles du coin, de destrier à Férune, ce pourrait être un indice ... ou pas.

Voilà tout ce que j'ai pu apprendre. Tiens j'ai fait l'acquisition de tabac au bois de sental très sympa et j'ai ma pipe à eau sur moi, ça tente quelqu'un?

Moi ça me tente...

Erhylion sent la présence de quelqu'un juste derrière lui...
Une légère odeur de tabac assez sucrée émane d'elle...
Allez savoir depuis combien de temps elle est là ...

Erhylion s'étonne de cette soudaine apparition

Erhylion a écrit:

Tiens tu es là? Pourtant d'habitudes je me place de manière à voir arriver les nouveaux venus... Bof, je dois être trop préoccupé, mais va falloir que je prenne garde à ne pas renouveler ça, la vigilance est une chose importante pour nous autres!

Bon, passons à des choses plus importantes: as-tu reçu mon message?

En disant cela, il pousse l'un des tuyaux de la pipe à eau vers une place libre, mais vous pouvez remarquer que sa main tremble légèrement, d'ailleurs lorsqu'il tend le bras, vous remarquez aussi sur son avant bras droit une cicatrice si profonde qu'elle a ôté toutes couleur à la chair là où il n'y en avait pas il y a encore peu de temps.

Hum... oui je l'ai reçu...

Elle s'assoit à côté de lui, saisissant le tuyau d'une main...
Puis elle jette un œil à son avant bras.

Qu'est ce que tu as là ?

Son index se pose à quelques centimètres de la cicatrice, glissant lentement sur son avant bras puis elle repose sa main sur la table...

Il te répond,le regard vitreux, énigmatique:

Erhylion a écrit:

C'est à la fois une glorieuse quête, un sombre destin et une aventure pour la vie!

Puis il rabat sa manche, couvrant ainsi la cicatrice, et revient vers toi:

Erhylion a écrit:

Mon message était-il suffisament clair ou as-tu besoin d'éclaircissements?

Et surtout penses tu que cela soit dans tes cordes?

Et sur ces derniers mots sont regard redevient distant et il baisse les yeux vers son bras droit...

La connaissance est mon domaine... J'irais quérir les informations et...

Elle s'interrompt, regardant les bouteilles sur la table, un fin sourire en coin se dessine sur ses lèvres... Puis elle amène le tuyau près d'elle, regardant Erhylion du coin de l'oeil.

Erhylion... tu pourrais...

Elle attends qu'il la regarde pour incliner la tête vers la pipe à eau de manière suggestive.

Il lève vers elle des yeux reflétant un abime de tristesse:

Citation :

Mmmh?

Puis, se rendant compte que la pipe n'est pas allumée, il tend le bras vers l'une des bougies sur la table, s'en saisie et l'utilises pour allumer le charbon de la pipe à eau.

Citation :

Autre chose?